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Le dossier sur l’intercommunalité refait surface

Vous avez bien compris que M. Garestier limite notre expression ; que les allusions mensongères et honteuses nous concernant continuent sans qu’on nous permette de répondre (ex du Tennis Club). Cette situation antidémocratique aura rapidement une fin.

Aujourd’hui nous vous alertons sur l’intercommunalité. L’Etat remet en cause notre appartenance à la communauté des Etangs (CCE) pour nous intégrer dans un énorme ensemble de 450 000 ou 800 000 habitants. Sans explication publique, sans autre concertation que des conciliabules de couloir politiciens. La municipalité Garestier ne nous tient pas informés. Nous avons décidé de nous mobiliser contre ces projets risqués et déstabilisants pour Maurepas : Augmentation forte des coûts administratifs contrairement à ce qui est dit. Dégradation indirecte de la situation financière : Notre gestion jusqu’en mars dernier a abouti à une dette très faible. La forte dette de ces grands ensembles entraînera à terme une pression sur l’impôt ici aussi. Perte de la maîtrise de l’urbanisme : on pourra nous imposer des logements sociaux sans que nous puissions intervenir sur leur qualité ou leur emplacement. Maurepas risque d’y perdre son âme. Pour cela nous participons activement à la défense de la CCE, même si celle-ci n’est pas l’idéal auquel nous pourrions prétendre pour l’avenir. Avec 38 000 habitants elle est à taille humaine. Nous restons à votre service pour une ville apaisée et une politique responsable.

Michel CHAPPAT – Florence BARY-SCHWARTZMANN

Michel CHAPPAT envoie G Garestier devant le tribunal

Sitôt élus la nouvelle équipe municipale n’a eu de cesse que de réduire les droits d’expression :

25% de moins dans nos expressions libres mensuelles (malgré les propos rassurants en commission) et 20 % de présence en moins dans les commissions.
Non satisfait de cela, M. Garestier s’est permis d’adresser à Michel CHAPPAT un courrier l’enjoignant de ne plus parler aux services. En même temps, il ordonne à la directrice des services de diffuser une circulaire dans le même sens.
Michel CHAPPAT a déféré ces deux documents honteux en annulation devant le tribunal administratif (voir les pièces jointes) pour discrimination contraire à la Constitution..
Lamentable de la part de Garestier…

Circ Demiguel 2014-07-31

Garestier Interdiction 2014-07-30 Recours TA contre doc 2014-07-30.signée.2014-09-24.signée

Pour le maintien de la Communauté de communes des étangs

De gouvernement en gouvernement, la nième réforme territoriale est menée d’aussi piètre façon parfaitement anti démocratique.

A peine intégrée à la Communauté de communes des étangs (CCE) que la préfet de région, sans s’informer une seule seconde de la situation locale, envisage de rattacher Maurepas et Coignières à un immense nouvel ensemble de 750 000 habitants de Versailles à Saclay, élargissant ainsi le périmètre du fameux OIN auquel nous n’avons jamais adhéré.

Michel CHAPPAT et Florence BARY-SCHWARTZMANN ont décidé de participer au collectif qui s’opposera à ce projet jugé inepte. Michel CHAPPAT en a été désigné trésorier.

Etre intégré, qui plus est de force, à un tel ensemble ou à la CASQY (qui de toute façon disparait car n’atteignant pas les 200 000 habitants imposés par la loi du 14-01-2014) entraînerait pour Maurepas deux conséquences néfastes :

1)      La perte de la maîtrise de l’urbanisme avec l’obligation de beaucoup plus de logements sociaux que prévu…

2)      La perte de l’autonomie financière avec risque d’augmentation des impôts à terme à cause de l’endettement de la CASQY et des autres organes réunis dans ce monstre de 750 000 habitants.

N’hésitez pas à nous rejoindre par notre contact.

Tennis-club de Maurepas : Epilogue et Bravo

La municipalité Garestier (du moins une partie de celle-ci) a bien tenté de faire chavirer le Tennis Club de Maurepas après quelques imprudences administratives de son Président.
Elle n’a pas entendu notre demande de différer ce funeste conseil municipal du 04 septembre ni de reporter les décisions privant le club de subventions et d’aides de la commune.
Le Tennis club a décidé de se redresser : le 19 septembre il a renouvelé son équipe de direction maintenant dirigée par le président F. Godfrin entouré de 14 volontaires.
Nous les félicitons et leur souhaitons bonne chance pour la suite.
Nous ne pouvons que regretter la manière dont M. Garestier a instrumentalisé cette affaire pour sa propagande personnelle au travers de la Lettre du maire (dont nous surveillons maintenant le contenu qui doit respecter le bon usage des deniers publics et permettre à notre sensibilité de répondre quand elle est attaquée..).

Garestier et le monde associatif : l’épisode du club de tennis

Nous avons été convoqués en urgence le 04 septembre dernier pour statuer sur le sort du club de tennis de Maurepas, après que M. Garestier eut inondé les boîtes à lettres des maurepasiens d’une nouvelle tribune de propagande indiquant des dysfonctionnements passés donc imputables à notre gestion…. Promettant la transparence sans plus de précision….
De quoi s’agit-il ? Fin 2013, les dirigeants de ce Club se sont chamaillés, certains choisissant de démissionner, laissant le président quasiment seul pour gérer l’association. On murmure ici et là que les élections municipales ne sont pas étrangères à cette situation, le président Esnault figurant sur une liste candidate concurrente de la liste Garestier ce qui aurait déplu aux amis de Garestier…
Pour constituer son dossier de demande de subvention 2014, M. Esnault aurait commis quelques erreurs fautives, en indiquant par exemple la tenue d’une assemblée générale, en fait fictive… Ceci aurait été dénoncé par les démissionnaires, certains susurrent par vengeance et règlement de comptes n’ayant rien à voir avec le sport…
Quand une association rencontre des difficultés, que peut faire la mairie si elle est saisie ?
Agir dans la discrétion et l’efficacité pour remettre l’association sur de bons rails et conforter son activité sans porter atteinte aux adhérents. C’est le choix que nous avions toujours fait avec G. Mougeot qui informait son opposition dans la discrétion. Les résultats ont toujours été positifs…
Ou, le tapage de propagande comme l’a choisi Garestier : la lettre de propagande avec allusions déplacées nous mettant en cause sans que nous puissions répondre ; aucune information de l’opposition. Sauf que dans ce cas, Garestier est contraint par l’article 40 du code de procédure pénale de ‘’dénoncer ‘’ la situation auprès de la Justice. L’a-t-il fait ? Il ne répond pas à nos questions. La transparence a ses limites…
Il préfère punir brutalement le Club de tennis et ses adhérents (qui n’y sont pour rien et dont certains siègent au Conseil municipal) mettant en péril son existence au lieu de patienter, de travailler de concert avec L’Office municipal des sports pour trouver une solution pérenne pour l’avenir (ce qui est facile avec des bonnes volontés).
Cette attitude d’intimidation casse l’esprit de partenariat avec le monde associatif et fait preuve d’irresponsabilité. Il est vrai que, quand on est membre de l’UMP qui multiplie les dossiers judiciaires liés au financement et au détournement de fonds… on se précipite pour saisir toute occasion pour brouiller cette vilaine image.. Garestier n’y échappe pas mais il a tort de prendre le monde associatif pour cible malgré le sourire de façade. Il y a lieu de rester très vigilant sur cette dérive extrémiste qui se rajoute à d’autres….
Nous nous sommes insurgés contre cette orientation. Nous avons tenté sans succès (la majorité Garestier faisant bloc) de faire reporter le conseil municipal du 04 septembre ; puis de faire reporter l’application des punitions (réduction de subvention; de moyens mis à disposition etc…).

Les masques tombent

Depuis son élection, M. Garestier passe son temps à une propagande post électorale très autosuffisante.

Le réveil est rude :
Il avait promis de ne pas appliquer la réforme des rythmes scolaires… Il y est contraint car un maire doit appliquer la Loi.
Il avait critiqué les finances de la commune… Ils ont approuvé sans remarque les comptes de l’année 2013 avec des excédents de 750 000 €…
Sans aucune retenue, il récupère ce que nous avions construit : l’informatisation de la mairie; les tableaux numériques pour les écoles; les travaux sur le CD13 et la route de Villeneuve.

La nouvelle majorité n’a pas tardé à marquer son style : un climat pesant mêlant mépris et intimidation amène des cadres à quitter la commune écœurés.
L’accroissement de la police municipale, engagement idéologique, se fait sans délibération du conseil municipal : on régularisera plus tard… Cette dépense est inutile quand il faut serrer la gestion.
On supprime la saison culturelle à A Camus. On supprime la fête de la ville, le bal du 14 juillet ; on crée des difficultés au comité des fêtes pour le feu d’artifice comme pour punir les maurepasiens et les priver d’amusement. Mais on achète un commerce place des Echoppes pour y loger la police. Ce n’est pas ainsi qu’on redynamisera le centre-ville : du pur gaspillage.

Cette municipalité manie le slogan et la communication, avec un maire très branché sur les réseaux sociaux mais qui ne répond pas aux courriers.

Aujourd’hui, première atteionte à l’esprit associatif : on punit les pratiquants du tennis sous prétexte que les dirigeants ont commis des fautes (toutefois sans conséquence sur les finances..).

Nous ne voulons pas, nous, de cette crispation généralisée. Nous œuvrons pour une ville apaisée.

N’hésitez pas à contacter sur ce site nos élus Michel CHAPPAT, ancien premier adjoint au maire et Florence Bary, ancienne adjointe aux secteur social.
DSC00223 MC  - 2013-07

Un budget qui pénalise l’accès de tous à la culture

La campagne électorale pour les municipales terminée, le conseil municipal s’est plongé à nouveau dans l’examen des dossiers de la commune.
D’abord, le compte administratif pour l’année 2013 (la dernière de la municipalité sortante). Là double surprise : ceux qui avaient critiqué la gestion passée, en des termes agressifs et mensongers, ont finalement adopté ces comptes et donc approuvé cette gestion. Il est vrai qu’il est difficile de mépriser un excédent de 455 000 € soit 1,5% du budget de fonctionnement qui s’ajoute à une réserve disponible de 197 000 € : belle aubaine pour la nouvelle municipalité qui trouve ce cadeau d’accueil sans aucun effort.
Quelle autre surprise de constater que le parti socialiste n’a pas jugé opportun d’approuver cette gestion : le monde à l’envers !!
Le budget pour l’année 2014 a lui aussi présenté des surprises : le besoin de financement était de 700 000 € environ. Les excédents et réserves ainsi qu’une baisse du prélèvement pour le ‘’FPIC’’ apportaient un disponible de 737 000 €, juste ce qu’il fallait pour équilibrer et préparer dans le bon ordre les efforts pour le budget de 2015 qui s’annonce plus difficile (la baisse à venir des dotations de l’Etat pourrait atteindre 500 000 € par an pour 2016).
Les nouveaux élus ont préféré marquer leur différence et faire des coupes brutales sur la Culture, tout en gardant les réserves financières disponibles et en ajoutant une réserve supplémentaire qui porte celles-ci à 720 000 € sans explication : que cela cache-t-il ?….
Nous n’avons pas approuvé ces orientations décidées à l’arraché sans aucune nécessité. Les discussions sur l’avenir sont repoussées à plus tard. Preuve supplémentaire que les nouveaux élus s’étaient contentés de critiquer sans rien proposer en remplacement. Quelle impréparation ! Le plus difficile reste à venir.
Par contre, nous avons approuvé les investissements qui se placent dans la continuité puisqu’ils concernent des opérations déjà programmées comme la rue de Villeneuve ou des opérations figurant dans notre programme électoral. Ils ne font pas appel à la dette. Très saines dispositions !..

Nous attendons de découvrir les conclusions de l’audit de la situation de la commune décidé par la nouvelle équipe municipale.

Nous restons bien entendu à votre écoute et à votre service pour le bien de Maurepas.

Michel CHAPPAT – Florence BARY-SCHWARTZMANN

Sur la réforme des rythmes scolaires

Michel CHAPPAT a lancé un appel à l’apaisement des esprits et a demandé à Monsieur Garestier de mobiliser les services de la mairie pour accompagner cette réforme dès septembre 2014.

Après avoir critiqué haut et fort, la proposition d’organisation du temps scolaire proposé par l’équipe de Georges Mougeot. Après avoir fanfaronné que la réforme ne passerait pas à Maurepas comme son mentor, maire d’Elancourt, le maire de Maurepas applique la réforme.

mais rappelons les objectifs de cette réforme et la nécessité d’apaiser les esprits pour que nos enfants n’en pâtissent pas.

extrait de l’intervention de Michel Chappat au conseil municipal du 3 juin 2014

“Cette réforme est née d’un consensus apparent en 2011 : il faut étaler le travail scolaire dans la semaine et revenir sur la concentration qu’avait voulue N Sarkosy.
Consensus sur le fait que les enfants ont besoin de repos au milieu de la semaine et au milieu de la journée. Ils sont plus éveillés le matin ; le travail scolaire doit donc être programmé plutôt le matin.
Mais cette réforme n’a pas été bâtie uniquement sur ce consensus et sur les études des psychopédagogues à propos de l’intérêt des enfants. C’est en fait un compromis entre l’intérêt des enfants, celui des parents et celui des enseignants.
Ainsi, à Maurepas 75% des parents ont choisi une matinée de travail le mercredi plutôt que le samedi matin.
La concertation organisée début 2014 à Maurepas n’a pas permis de dégager une tendance pour le temps de midi.
Nous avons donc choisi que les temps de travail scolaire seraient le matin de 08h30 à 11h30 du lundi au vendredi. Il y aurait quatre après-midi de travail les lundi, mardi, jeudi et vendredi de 13h30 à 15h45 (au lieu de 13h-16h avant). Pendant la demi-heure supplémentaire du temps méridien devaient être organisées des activités diverses qui détendent les enfants.
A vrai dire, cette réforme s’éloigne du consensus de 2011. Les modifications apportées par Benoît Hamon (possibilité de regrouper ces activités diverses le vendredi après-midi) l’en éloignent encore plus.
D’une réforme qui devait recueillir un consensus car il s’agit de l’enfant, on se retrouve avec une réforme imposée, mal comprise, qui suscite haines, crispations et agitations stériles.
Nous n’avons rencontré aucun parent qui la soutienne. C’est donc un échec, voire un fiasco.
Néanmoins, on ne peut prendre les familles en otages. Un Maire, tout volontaire qu’il soit, ne peut s’opposer à une réforme d’Etat. Il n’en a pas le droit. Il peut annoncer son désaccord. Il doit se ranger. Monsieur Garestier n’a pas bien mesuré sa responsabilité. Il est issu d’une famille politique, le gaullisme, réputée pour son sens de l’Etat. Il l’a oublié.
Il doit mettre tout en œuvre pour réussir la rentrée scolaire. Pour appliquer les rythmes scolaires, même s’il ne les approuve pas.”

En Avant Maurepas : On continue

Samedi 14 juin, les soutiens d’En Avant Maurepas se sont retrouvés.
35 d’entre-eux ont échangé sur le résultat désastreux des municipales, sur l’avenir, sur la position de leurs deux élus Michel CHAPPAT et Florence Bary-Schwartzmann.
D’abord, ils leur ont demandé de tenir et de ne pas quitter le conseil comme Michel CHAPPAT en avait émis le souhait dans un premier temps.
Ils ont approuvé leur décision de s’exprimer de manière autonome.
Ils ont décidé de se revoir régulièrement et d’élargir leur cercle à une génération plus jeune.
Finalement, la réunion des personnes de sensibilité de gauche modérée, responsable et de sensibilité du centre modéré est plutôt positive : harmonieuse, en confiance ; en amitié. Il est dommage que les maurepasiens ne l’aient pas compris.
Un premier bilan de la gouvernance Garestier sera établi à l’automne. Nous ferons le point des promesses tenues et des promesses non tenues, du style et des priorités de cette équipe qui déjà sacrifie la culture.

Merci à tous nos électeurs

Au lendemain du second tour de l’élection municipale, qui a vu la victoire de la liste UMP, nous tenions à remercier tous les maurepasiennes et les maurepasiens qui nous ont fait l’honneur de porter sur notre liste leur suffrage.

A tous merci.